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jm350

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  1. J'suis passé par là il y a deux semaines....les travaux avancent très lentement !! Je ne crois pas que le tout sera fini avant même l'été....si c'est pas plus.
  2. L'entrée des terrains de Shell a ses débuts en 1933.... Source: Archives de photos d'hier à aujourd'hui de la ville de Montréal-Est.
  3. Merci !! Pour la suite il y aura le Moulin Légaré et d'autres choses. a suivre....
  4. La suite..... Épicerie Aubé, 1914 // 30 mars 2013. Situé au 30, rue de Bellefeuille l’épicerie-boucherie Aubé a ouvert ses portes en 1883. Son fondateur M. Ephrem Aubé a tenu le premier magasin dans une bâtisse aujourd’hui disparue et son fils Arthur a reconstruit le magasin en 1914 (image ci-dessous). Dans les années 1960, son fils Paul prend la relève. Magasin général Ernest Lahaie, 1925-30 // 30 mars 2013. C’est en 1856 que Mme Philomène Paquin ouvre un premier magasin. De son union avec Pierre Lahaie, leur fils Ernest Lahaie reprend le commerce. Le magasin est déménagé dans un immeuble appartenant à Alphonse Bélair, sur la rue St-Eustache à l’angle de la rue Dorion. Puis le fils d’Ernest, Jean Lahaie prend en charge le commerce. Aujourd’hui le magasin Jeanne Audet et le restaurant la Clé de Sol occupent les locaux. Nadon Sport, vers 1965 // 30 mars 2013. Situé au 62 rue St Louis, magasin fondé en 1961 par Maurice Nadon, celui-ci et son épouse entretiennent et réparent des vélos et des petits moteurs de toutes sortes. Puis vint la vente de motoneiges et de motocyclettes. Les motos et les VTT deviennent rapidement le produit vedette de ce magasin. Collège Sacré-Cœur (de St-Eustache), vers 1920 // 30 mars 2013. Situé au 75 rue de Bellefeuille, le Collège Sacré-Cœur fut bâti par les Clercs de Saint-Viateur en 1829 pour l’enseignement des garçons. Le collège fut agrandi vers le nord-ouest en 1915. Devenue vétuste, la bâtisse est cédée à la Ville de Saint-Eustache en 1974, puis démolie et convertie en un parc en 1975. Note en médaillon: Une plaque commémorative fut installée sur une pierre avec l'inscription... "Parc du Sacré-Coeur. C'est sur ce terrain appelé autrefois le Faubourg St-Jacques que fut construite en 1829, la première maison d'école des garçons de St-Eustache. Garage Marineau, St-Eustache, 1915 // 1964. Situé sur le boulevard Arthur-Sauvé et sous la gouverne de Palma Marineau, le garage s’est agrandi au fur des ans jusqu’à devenir un concessionnaire important de la région. Le Manoir Globensky, avant l'incendie de 1901. En 1861, Charles-Auguste-Maximilien Globensky, hommes d’affaires de Saint-Eustache, se fait construire une imposante demeure sur son domaine de 162 arpents, jusqu'alors occupé par le manoir Laviolette et un verger. Les plans de la maison sont dessinés par Henri-Maurice Perrault, l’un des architectes les plus marquants de sa génération. On lui doit entre autres les plans de l’hôtel de ville de Montréal. Le manoir Globensky est alors considéré comme l’une des plus belles maisons de campagne du Canada-Est. En 1901, un incendie se déclenche dans les cuisines et ravage partiellement le manoir. Les travaux de reconstruction ont lieu l'année suivante et sont dirigés par l'architecte Charles Bernier. En 1930, l'ajout d'un porche à colonnades d'inspiration géorgienne confère une allure américaine à la demeure. Les baies en saillie de la façade appartiennent plutôt à l'architecture victorienne. Après la mort de Globensky en 1906, le manoir passe entre les mains de plusieurs propriétaires. La Ville de Saint-Eustache en fait finalement l'acquisition en 1961 et y installe son hôtel de ville jusqu'en 1986. Le manoir Globensky devient la Maison de la culture et du patrimoine en 2005 et abrite aujourd'hui diverses expositions. Note: Au Canada, sous le régime seigneurial, on appelait manoir la résidence du seigneur. Il est donc erroné de qualifier de manoir la maison construite pour Charles-Auguste-Maximilien Globensky en 1861 et 1902. En effet, le régime seigneurial est progressivement aboli à partir de 1854. Globensky, alors propriétaire de la seigneurie de la rivière du Chêne, où se trouvait Saint-Eustache, perd alors officiellement son titre et la plupart de ses privilèges. Les habitants du village continueront cependant de l'appeler seigneur Globensky jusqu'à sa mort et même aujourd'hui, nous continuons d'appeler sa demeure un manoir. 9 Mars 2013. Maison Lauzé, dans les années '20 // 30 mars 2013. La maison Lauzé, située au 164 de la rue Lemay dans le vieux Saint-Eustache, est un excellent exemple de la maison de village du XIXe siècle. Aujourd'hui restaurée dans l'esprit de ses origines, elle nous montre à quoi ressemblaient une grande quantité de maisons du village, entre 1850 et 1910. Nous ne savons pas avec certitude à quelle époque la maison actuelle a été érigée sur le lot 132. Un examen de sa structure nous porte à croire qu'elle a pu être construite entre 1850 et 1860, soit à l'époque où le site était occupé par Anne-Marie Lauzé, veuve de Jean-Baptiste Marineau. Le 4 janvier 1858, Marie-Anne Lauzé hypothèque sa maison auprès du boulanger Joseph Dorion fils «pour valeur reçue en pain». Elle lui doit une somme de 15 livres et 15 chelins, montant considérable qui représentait probablement son approvisionnement en pain de plusieurs mois. Six ans plus tard, la dette est toujours impayée et la débitrice consent à céder sa maison à son créancier, en paiement du montant de 15 livres. La maison est effectivement vendue à l'encan par la Corporation du Village le 1er février 1864 et l'acquéreur est Joseph Dorion fils, qui n'est plus boulanger mais exerce maintenant le métier de huissier. En 1869, la maison est à nouveau vendue à l'encan par la Corporation du Comté de Deux- Montagnes. L'acquéreur est à nouveau Joseph Dorion fils. Neuf jours après cette vente, Dorion cède le lot 132 et la maison à Louis-Daniel Éthier, le bedeau de la paroisse de Saint-Eustache. Celui-ci habite la maison pendant douze ans et la revend en 1882 à Olivier Girouard. Chose curieuse, tout comme Dorion était passé du métier de boulanger à celui de huissier, Éthier est passé de celui de bedeau à celui de huissier. Il faut croire qu'il s'agissait là d'une occupation plus rémunératrice! Olivier Girouard cède ses biens par testament à sa nièce Élizabeth Raby, veuve d'Émile Champagne, qui vend les lots 131 et 132 et la maison en 1908 au meunier Auguste Lauzé. La famille Lauzé a fourni de nombreux meuniers à la seigneurie de la rivière du Chêne. Benjamin travaille au moulin de la Dalle à partir de 1857, tandis que Léodas va acquérir le Grand-Moulin de la rivière des Mille-Îles en 1888 pour l'opérer pendant vingt ans, jusqu'en 1908. Auguste aura lui-même sa part dans le Grand-Moulin où il travaille. Après quelques années d'interruption, la maison de la rue Lemay revient donc à un membre de la famille Lauzé, qui en demeurera propriétaire jusqu'à nos jours. À la mort du meunier Lauzé, sa veuve Anne-Marie-Élise (dite Clémentine) Judd habite la maison pendant plus de 25 ans. En 1951, elle cède les deux lots et la maison à son fils Paul Lauzé. Depuis 1977 enfin, la maison appartient à Yves Lauzé, petit-fils du meunier Auguste Lauzé, qui l'a restaurée dans le respect des traditions. Ci-haut, un jeune couple pose fièrement sur la rue Lemay, tout près de la Maison Lauzé (a gauche). On remarquera la porte (bâtiment a droite du couple) a été emmurée. La maison Lauzé en 1977. .....a suivre.
  5. La ville de St-Eustache a une grande histoire. Une histoire qui se situe principalement dans les années 1700 et 1800 mais dont le point culminant se joue le 14 décembre 1837 lors de l'attaque militaire du général et gouverneur John Colborne envers les patriotes. Aujourd'hui nous somme bien loin de tout cela. Voici donc quelques photos d'un passé pas si lointain et du présent de cette ville. __________________________________ L’histoire de la paroisse Saint-Eustache remonte au XVIIIe siècle. Un presbytère-chapelle est construit dès 1774 sur un terrain ayant été offert par le Seigneur Louis-Eustache Lambert Dumont et longeant la rivière des Mille-Îles. Six ans plus tard, débute la construction de la première église, qui sera bénite en 1783. Entre 1830 et 1833 l’actuelle haute façade en pierre est construite. Cette église occupe une place spéciale dans l’histoire du Québec surtout en raison des événements tragiques qui s’y sont déroulés en 1837, lors de la bataille des Patriotes. Le bâtiment sera lourdement endommagé lors de la rébellion . Ce n'est que 4 ans plus tard, que le curé Paquin peut enfin entreprendre la reconstruction de l'église. Durant la deuxième moitié du XXe siècle, Saint-Eustache connaît un important développement économique et démographique. Ainsi, les paroisses Christ-Roi, Saint-Esprit et Sainte-Marguerite-Bourgeoys voient le jour respectivement en 1964, 1970 et 1989, afin de répondre aux besoins d’une communauté en croissance. Quant à l’église de Saint-Eustache, elle fut classée monument et lieu historique en 1970. Grâce à sa voûte en berceau elle bénéficie d’une si belle acoustique que l'Orchestre symphonique de Montréal y a enregistré tous ses albums pendant plus de 20 ans. Elle est d’ailleurs visitée par des milliers de touristes chaque année. Source: Ville de St-Eustache. Église de St-Eustache, 1920 // 23 Mars 2013. Les bâtiments de droite ont disparus mais la Maison Charles Marsil a gauche, est toujours en place... Hotel St-Eustache vers 1940 // 1975 Située au 124-128 Rue Saint Eustache, l’Hôtel Saint-Eustache, dans la rue du même nom, a connu plusieurs propriétaires durant sa longue vie, dont Joseph-Mathias Goulet, les familles Pesant, Laurin et Jos. Lauzé. L’hôtel dispose de la traditionnelle taverne en plus d’être le point de service local pour la compagnie de d’autobus Provincial Transport. Comme plusieurs autres établissements de Saint-Eustache, il fut rasé par un incendie d’origine douteuse dans les années '80. Ce bâtiment comprenait aussi dans les années '70, la discothèque "Le Stress", qui était très populaire a cette époque. Hotel St-Eustache 1975 // 30 mars 2013. (tout a disparue, des condos font maintenant partie du décor). Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1902. (Vue de la rue St-Eustache) L’Hôtel Rivière-du-Chêne bâti vers 1900 sur la rue Saint-Eustache au coin de la rue Dorion, a pris le nom d’Hôtel des Mille-Iles et a longtemps été opéré par Napoléon Robin et son fils Jean. L’hôtel fut rénové puis converti en logements vers 1967. Ce qu'est devenue l'Hotel Rivière du Chêne, 30 mars 2013 Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1968 (coin Dorion). 30 mars 2013, coin Dorion. La maison Brion, année inconnue // 30 mars 2013. Construite en 1771, la maison Brion est située au 65 de la rue Saint-Louis, dans le vieux Saint-Eustache. Avec l'église de Saint-Eustache, elle est un des rares témoins de la bataille du 14 décembre 1837. Le 14 décembre 1837, comme une bonne partie du village, la maison est incendiée durant la bataille. Elle restera en ruines pendant neuf ans, témoin de la lutte. En septembre 1838, Pierre Janvry donne le terrain et les murs de pierre qui subsistent à son fils Édouard, comme cadeau pour son mariage avec Marie-Charles Dumoulin. Un an plus tard, Édouard revend le tout à Ambroise Brion dit Lapierre, un cultivateur de Saint-Eustache. En mai 1846, Lapierre signe un marché de construction avec le maçon Ulric Robillard. Ce dernier devra démolir ce qui reste des murs du second étage (car a l'origine elle avait donc deux étages) et reconstruire la maison dans les murs du rez-de-chaussée. C'est cette maison que nous pouvons toujours observer aujourd'hui sur la rue Saint-Louis. Magasin Paquin vers 1898 // 30 mars 2013. Au début de 1800, le docteur Jacques Labrie acquiert la propriété de Joseph Debien sur la rue Saint-Eustache. Il agrandit la maison et fait ériger des murs de pierres. Il habite la demeure près de 20 ans. Puis, William-Henry Scott achète la propriété et y établit un magasin général. A sa mort, les enfants Scott continuent à opérer le commerce. En 1875, Joseph-Albert Paquin acquiert la bâtisse. Après un incendie majeur en 1889, la maison et le magasin sont reconstruits. Devenu une quincaillerie, le commerce ferme ses portes vers 1990. La maison est toujours occupée par les descendants de Joseph-Albert Paquin. Banque Provincial, 1970 // 30 mars 2013. Ce bâtiment construit dans les années '20 et abritant la banque provinciale (aujourd’hui fusionnée avec la banque canadienne nationale qui a créé la banque nationale) a eu pignon sur la rue St-Eustache de 1930 à 1979. Hotel Bellevue dans les années '60 // 30 mars 2013. Situé a l'angle des rues Saint-Louis et Saint-Eustache (face a l'église). Elle fut construite entre 1905 et 1910 par Cléophas Laurin puis opéré par Charles-Édouard Girard, l’hôtel Bellevue accueille des visiteurs de partout. Dans les années 1950, l’aile ‘Indian Lounge’ est ajoutée du côté sud-ouest. Le corps principal de l’hôtel fut incendié en 1974, ne laissant que l’aile ‘Indian Lounge’. Aujourd’hui un commerce de vêtements occupe la bâtisse rénovée en plus d'un autre bâtiment plus récent construit a l'emplacement de l'hotel. La maison Globensky-Coriveau vers 1890 et 1930. Portant les adresses 64 et 68 rue St-Eustache dans le village du même nom, Hubert Globensky fit construire cette maison en 1832. Le notaire Cyrille H. Champagne s’y installe ensuite jusqu’à sa mort en 1906. Son fils Hector y réside jusqu’à son décès en 1941. Enfin, le docteur Yvon Corriveau acquiert la maison en 1941. [C’est lui qui va la faire reculer de quelques mètres vers l’arrière]. Maintenant, l’emplacement est occupé par le restaurant Saint-Eustache. Source: Ville de St-Eustache ------------------------------------------------------------ De la fin des années 1780 jusqu'en 1795, l'emplacement de la maison Hubert Globensky appartient à la seigneuresse de Blainville, Marie-Thérèse Céloron de Blainville. En 1799, Auguste Globensky, un chirurgien polonais s'étant établi au Canada après la Révolution américaine, achète le terrain. Une maison en pièce sur pièce ainsi que divers bâtiments s'y trouvent déjà. À la mort de son père en 1830, le marchand Hubert Globensky fait l'acquisition de la propriété. Deux ans plus tard, il fait démolir l'ancienne demeure et bâtit la résidence actuelle. Le magasin et la maison d'Hubert Globensky sont pillés par les Patriotes durant les jours précédent la bataille du 14 décembre 1837. En raison du soutien apporté par Globensky au parti loyal, sa demeure est toutefois épargnée par les troupes du général Colborne. Une partie de l'état-major de l'armée britannique y est logé après la bataille. En 1941, le docteur Yvon Corriveau devient propriétaire de la maison. En plus d'y apporter quelques modifications, il la fait reculer de quelques mètres vers l'arrière. La demeure était auparavant située en bordure du trottoir. La maison Hubert Globensky est l'une des rares demeures d'inspiration néoclassique dans la région. L'architecture néoclassique apparaît durant la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Style inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, le néoclassique se démarque par sa recherche de symétrie, d'harmonie et de clarté. Les maisons d'inspiration néoclassique se caractérisent aussi par la présence d'une vaste galerie couverte d'un auvent en façade ainsi que d'un fronton au-dessus de la porte d'entrée. La façade de la maison Hubert Globensky était auparavant ornée d'une longue galerie. 30 Mars 2013, Position éloignée du trottoir par rapport a avant 1941. .....a suivre !!
  6. A l'automne dernier (2012) le viaduc du boulevard Henri-Bourassa surplombant le boulevard Pie-IX a été détruit, il fut construit en 1938. Depuis quelque temps il montrait des signes de faiblesse important, la ville pris donc la décision de le détruire. Une nouvelle intersection a un seul niveau devrait être complétée d'ici décembre 2013. Pour l'instant tout le secteur est dans une complète transformation. Quelques édifices ont été détruits et donc quelques expropriations ont été fait. Voici donc quelques montages d'image de Google Street View datant de 2009 et mes photos, datant du 11 novembre 2012. Boulevard Pie-IX, direction Nord (vers Laval). On voit tout ce qui reste du viaduc qui a été démoli. A l'extreme droite, on distingue les nouvelles voies de contournement en attendant que ce nouveau carrefour soit terminé. Direction Sud (venant de Laval).... Les bretelles d'accès venant du boul. Pie-IX (vers H- Bourassa O.) et du boul. H-Bourassa vers le Pont Pie-IX (vers Laval), ont toutes été éliminées et remplis de terre. Il y avait des édifices qui ont été expropriés quand ils ont fait ces bretelles il y a plus de 20 ans. Coin de la rue d'Amos et Saint-Julien, ou l'on vvoit l'arrière et le coté sud d'un ancien édifice commercial ayant servit a plusieurs magasins dont un centre de rénovation dans les années '90. Il est maintenant disparu afin de laissé place au nouveau carrefour qui devrait être complèté d'ici décembre 2013. :silly:
  7. Autodrome Laval (Le Riverside Speedway) 1981 et l'Autodrome de St-Eustache 2007... Plusieurs éléments de l'ancien "Riverside Speedway" de Duvernay a Laval ont été transferés a St-Eustache après sa fermeture en 1985. Sur la photo (dans le cercle rouge) on voit la cabine de l'annonceur maison, légèrement modifiée...mais c'est la même !! Pont Viau, 1956 // 19 aout 2012... En arrière du 27 Boul. Lévesque (Pont-Viau, Laval). Aujourd'hui le décor a bien changé !! L'eau que l'on apperçoit a l'arrière (sur la photo original), cette vaste zone fut remplis de terre dans les années '60, si bien que de nos jours, le métro y passe en plus des parcs, postes de police et pompiers et bien d'autres choses s'y trouve !!! Eglise St-Gilles (Pont Viau), 1961 / 9 sept. 2012... Une vue d'une partie du parc Roger Provost (anciennement "Fontainebleau") et de l'église, a partir du coin du boulevard Léger et du chemin de la Bretagne. On remarque que l'entrée ouest du parc est resté au même endroit et que la nature a pris le dessus !! Caisse pop 1961 / 9 sept. 2012... La Caisse Populaire de la Concorde (225 boul. de la Concorde, Pont-Viau, Laval), autrefois connue sous le nom de la caisse populaire St-Gilles de Pont-Viau, a été fondée le 26 avril 1961 par Monseigneur J-G. Hamelin, représentant l'union régional de Montréal lors d'une assemblée qui regroupait 55 paroissiens qui ont signés les document de fondation. Depuis plusieurs années cette caisse est devenue une caisse Desjardins et depuis environ 2-3 ans, elle a déménagée de l'autre coté du boulevard dans des locaux beaucoup plus moderne et sécuritaire. boul. Curé Labelle coin Chomedey oct69 // 10 Novembre 2012... Le terre-plein entre les deux voies du Boulevard Curé Labelle semble avoir été modifié et rétrécis depuis les années '70. Le "Tripédium" (a droite sur l'image du haut) qui fut inauguré le Dimanche 15 Octobre 1961 en l'honneur de la fusion des villes de St-Matin, l'Abord-à-Plouffe et Renaud, afin de devenir Chomedey, n'y est donc plus aujourd'hui. Il y a toujours une station d'essence a peu près au même endroit que la station BP et tout le reste a beaucoup évolué mais ce quartier constitue toujours un mélange de résidentiel et commercial. ;)
  8. Oups !! merci, j'était dans la lune !!! J'ai corrigé, c'est effectivement celle de gauche que je voulais dire.
  9. Ces photos date du Samedi 17 avril 1988. Cette journée devait être une date fatidique pour ces deux tours jumelles qui ont "décorés" le ciel de Montréal pendant plusieurs années. Le 17 avril, une seule tomba, l'autre suivi son destin deux semaines plus tard soit le 2 mai suivant. ....et j'y était (avec la petite caméra Minolta de mon père) ...... Quelques minutes avant le dinamitage de la première tour (Celle avec le lettrage "MIRON"). L'évènement avait attiré beaucoup de monde ainsi que plusieurs média. Ces deux-là avaient un point de vue de premier plan....au risque de ce blesser !! Le décompte est commencé.... Et BOUM, un peu de boucanne et ç'a commence a fléchir....et elle tombe.... Il n'en reste qu'une seule. Le décompte est maintenant commencé pour elle aussi. BOUM....un peu de boucanne mais elle ne veut pas tomber !! Les artificiers en viendront a bout deux semaines plus tard, le 2 mai 1988.
  10. Église st-martin a Laval, avant 1942 // 2006 (L'église de gauche a brûlée en 1942.) Le village de Ste-Rose... L'entrée du Pont Marius-Dufresne, 50's // 18 aout 2012... Le pont Marius-Dufresne est érigé en 1946 et 1947. Nommé à l'origine pont Louis-Hippolyte-Lafontaine, il change d'appellation suite à la réalisation du tunnel du même nom à Montréal. Il est renommé en l'honneur de Marius Dufresne, l’entrepreneur responsable de sa construction, qui a perdu la vie sur ce chantier dans un accident en 1946. Le pont est remis à neuf en 1997. La maison de droite (voir image original ci-haut) existe toujours, elle fut construite en 1840. Elle a été convertie en restaurant... eglise et college, Ste-Rose... L'église et le collège Ste-Rose a Laval Qc. Photo du haut, date inconnue, celle du bas....18 aout 2012. On peut voir qu'avec le temps, la nature reprend sa place !!! Poste de pompier, 1920-30 // 18 aout 2012... Le 216 Boul. Ste-Rose (Laval, Qc.) a très peu changé depuis la prise de la première photo. Ancien poste de pompiers convertie aujourd'hui en galerie d'art, Date de construction.....inconnue. Je soupsonne le poteau d'être le même sur les deux images. Selon sa hauteur approximative et surtout selon le dessin des noeuds (vers le haut et vu de cet angle) vu sur des dimenssions plus grandes de ces deux photos et sa base semble être planté exactement au même endroit. Mais ce fait ne m'a jamais été confirmé mais si c'est le cas, ce poteau (ou l'arbre originel de ce poteau) serait +/- centenaire chateau normand, 257 boulevard ste-rose, '50 // 18 aout 2012... Site de l’ancien et très beau Château Normand, la photo du haut date des environs des années '50. Ce château, qui avait une grande renommée, a été incendié vers 1959. Aujourd'hui remplacé par le 257 et le 261 dans un même bâtiment....très récent !!! couvent Ste-Rose, 1900 // 18 aout 2012... Le 233 Boul. Ste-Rose (Laval, Qc.), l'ancien couvent abrite maintenant des locaux de L'institue de beautée Edith Serei. Bâtiment construit en 1876.
  11. Entrée de l'ancien cine-parc Laval. Du Ciné-Parc Laval qui a fermer en Septembre 2004, il ne reste plus grand choses. A vrai dire, il ne reste que les écrans dans un grand champs abandonné. La première image date de 2005 tandis que celle en dessous, date de 2010. Hotel de ville / Poste de police, Pont-Viau. Cette demeure de deux étages a trois logements située sur la rue Grenon au coin de la rue Berry (Pont-Viau, Laval) n'a aujourd'hui rien de bien spécial et se confond même avec les autres habitations du voisinage. Pourtant, pendant un certain temps elle abrita l'Hotel de ville ET le poste de police de la "ville" de Pont-Viau, avant la fusion des villes de l'Ile Jesus en 1965 qui donna naissance a la ville de Laval. Ce bâtiment fut contruit aux environ de 1947 et la photo du haut fut prise entre 1959 et 1965. Les voitures de police sont des Chevrolet Biscayne 1959 (les modèles de 1958 et 1960 sont différents). A noter: Les auvents ainsi que les barrières, balcons et escaliers....semblent être les mêmes sur les deux images !!!! Image du bas: Google Street View (Octobre 2012). Sources: Ville de Laval, Canada police cars.
  12. Merci !! Laval est une ville jeune a comparer de Montréal par exemple. Il est effectivement plus difficile de trouver des documents d'époque....mais il y en a un certain nombre !!! Mais heureusement aussi, bien avant la "ville de Laval", l'Ile Jésus a quand même une belle grande histoire et comme un casse-tête, petit a petit, je cherche et je trouve des petit morceaux de ce casse-tête.
  13. C'est probablement non loin de là mais rien ne me le certifie !! D'autant plus que la courbe de la rue est inverse a la photo d'origine (si biensure la photo d'origine n'a pas été elle même inversée !!).
  14. Le 360 boul. Curé Labelle, avril 2009 // 10 Novenbre 2012 Cet édifice datant de la fin des années '60 (année de construction exacte inconnue) a déjà servit de petit cinéma de fortune a ses début. Il n'y avait qu'un seul écran et l'hiver, la salle était réchauffé par un poêle à bois dont on voit encore la cheminée au fond. Mon frère me disait y avoir vu 2 ou 3 films au début des années '70. C'était un lieu de rassemblement pour les jeunes du quartier a cet époque. L'image du haut est une photo de "Google Street View". Au début des années 2000 c'était un entrepôt de pneus appartenant a "Pneus Touchette" qui a encore aujourd'hui une succursale presque qu'a la même hauteur, de l'autre coté du boulevard Labelle. Sur la photo du haut en 2009 (Google Street View), on peut voir que ce bâtiment était a vendre. Puis il y eu un commerce nommé "Vita Lawn Inc" ayant des produits pour l'entretien des pelouses ainsi que d'autres produits divers de nettoyage sous pression. Aujourd'hui, ce bâtiment est encore a vendre !!! Voyez cette image du cinéma, tirée du reportage de Gil Courtemenche (Radio Canada) "1973 Boulevard Curé Labelle" que l'on peut voir sur Youtube -> <a href=" " rel="nofollow">www.youtube.com/watch?v=OOfQSVDFr6s</a>
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