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  1. Mise à jour le jeudi 15 janvier 2009 à 22 h 43 Si l'intention du gouvernement conservateur de Stephen Harper d'investir dans les infrastructures se confirme, l'Agence métropolitaine de transports (AMT) sait déjà comment elle utilisera l'argent reçu. La télévision de Radio-Canada a obtenu la liste des projets contenus dans le programme triennal d'immobilisations de l'AMT. Pas moins de 3 milliards de dollars seront requis en trois ans pour atteindre des objectifs assez ambitieux. Tramway et SLR D'abord, 1 milliard de dollars seront investis dans un réseau de tramways et de systèmes légers du rail (SLR). En plus de projets déjà évoqués comme un SLR sur l'estacade du pont Champlain et un tramway sur l'avenue du Parc, l'AMT voudrait créer un réseau beaucoup plus étendu. Projet de SLR sur l'estacade du pont Champlain Les boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa, ainsi que les rues Notre-Dame et Saint-Antoine, sont parmi les axes visés. De même, les boulevards de la Concorde et Notre-Dame, à Laval, mériteraient d'être mieux desservis, selon l'AMT. Métro L'Agence veut aussi étendre les tentacules du métro, notamment en prolongeant la ligne 2 (orange) au nord de Côte-Vertu, jusqu'à l'intersection Henri-Bourassa/Marcel-Laurin, près de la gare Bois-Franc. C'est la première fois qu'on parle d'allonger cette ligne et même peut-être de boucler la boucle en poursuivant le trajet jusqu'à la station Montmorency, à Laval. Projet de prolongement de la ligne 2 (orange) du métro de Montréal En plus d'ajouter des stations sur la ligne 4 (jaune) à Longueuil, l'AMT pense prolonger ce trajet de trois stations vers le centre-ville, une idée déjà évoquée dans les années 70. Projet de prolongement de la ligne 4 (jaune) du métro de Montréal Trains de banlieue L'AMT compte beaucoup sur Ottawa pour financer une nouvelle ligne de train vers la banlieue ouest de Montréal. Elle comporterait une nouvelle gare à Saint-Lazare, ainsi qu'un arrêt à l'aéroport Dorval-Trudeau, pour enfin avoir ce lien ferroviaire manquant entre le centre-ville de Montréal et le principal aéroport de la métropole. D'autres gares ferroviaires sont projetées dans les arrondissements d'Outremont et de Lachine, cette dernière le long de la ligne Montréal-Candiac. Enfin, l'AMT songe à offrir un accès Internet sans fil à bord de tous ses trains d'ici la fin 2010. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/01/15/005-AMT-projets_n.shtml
  2. Les commerces seront déserts, prédit Stationnement de Montréal Mathieu Perreault La Presse La décision de l'arrondissement de Ville-Marie de rendre gratuits les parcomètres du 23 au 26 décembre risque d'avoir un effet contre-productif, affirme le président de Stationnement de Montréal, Roger Plamondon. Faute de pouvoir trouver une place, les banlieusards risquent de déserter les magasins du centre-ville. «C'est une bonne idée de vouloir attirer plus de gens au centre-ville, mais les parcomètres gratuits, ce n'est pas la bonne manière d'atteindre l'objectif», a expliqué M. Plamondon en entrevue avec La Presse. «Pour maximiser l'affluence, il faut que les automobilistes trouvent rapidement une place. Et pour qu'ils trouvent rapidement une place, il faut que les tarifs de stationnement sur rue soient assez élevés pour que les gens qui stationnent toute la journée aillent dans les stationnements payants.» L'analyse de M. Plamondon est confirmée par Donald Shoup, un urbaniste de l'Université de Californie à Los Angeles qui a publié en 2005 un livre qui a marqué son domaine d'étude, The High Cost of Free Parking. «Les parcomètres gratuits avant Noël sont très courants dans les villes américaines. Mais année après année, on se rend compte que les places les plus proches des magasins sont occupées par leurs employés, et que des gens qui normalement iraient dans des stationnements de moyenne durée, par exemple ceux qui vont au cinéma ou au musée, monopolisent plusieurs places. Les gens qui veulent passer une heure ou deux à magasiner pour Noël ont souvent plus de difficulté qu'à l'habitude pour se trouver une place.» De plus, les parcomètres gratuits ou trop peu coûteux exacerbent les bouchons. «Quand le stationnement sur rue est gratuit ou presque, un automobiliste sur trois dans les zones commerciales est une personne qui cherche une place, dit M. Shoup. En d'autres mots, si les gens ne trouvent pas facilement, le trafic augmente de moitié.» Toutes les études le démontrent, selon M. Shoup: l'idéal, pour maximiser les revenus des commerces, est d'avoir un grand nombre de clients qui viennent pour une courte durée. «Si une personne vient magasiner et trouve une place gratuite, elle va parfois rester trois, quatre, six heures. Et elle ne dépensera pas nécessairement trois, quatre ou six fois plus qu'une personne qui reste pour une heure.» N'existe-t-il pas des personnes qui sont allergiques à payer pour se stationner? «Oui, certainement, dit M. Shoup. Mais est-ce que les commerçants du centre-ville veulent absolument attirer des gens trop pingres pour payer leur place de stationnement? Ne pensez-vous pas que les gens qui acceptent de payer sont aussi ceux qui dépensent le plus quand ils magasinent? http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200812/04/01-807175-les-commerces-seront-deserts-predit-stationnement-de-montreal.php
  3. A Bridge Loan? U.S. Should Guide G.M. in a Chapter 11 By ANDREW ROSS SORKIN New York Times, November 18, 2008 Tony Cervone, a spokesman for General Motors, has a warm and friendly way to summarize his ailing company’s ongoing dance with disaster. “The fact is we’re looking at a short-term liquidity crisis that needs a bridge loan,” Mr. Cervone said this weekend to The Detroit Free Press. To him, G.M. is merely in a temporary bind. If the government — that is, taxpayers — were just willing to spot G.M. some cash to get it over this little rough patch, everything would be just fine. Mr. Cervone’s comment reflects what’s wrong with the mind-set in Detroit. G.M is using money so quickly that a $10 billion infusion made today would disappear by February. That is why taxpayers shouldn’t fork over a cent, at least until shareholders are wiped out, management is tossed out and the industry is completely reorganized. But there is a fix. Call it a government-sponsored bankruptcy, a G.S.B., if you will. It might sound a bit like an oxymoron, but it is an idea that has been quietly making the rounds in Washington. It makes a lot of sense. Here’s how it could work: First, let’s recognize that G.M. doesn’t need life support. What it needs is Chapter 11. The bankruptcy process is not a bad thing — indeed, it should be embraced. Bankruptcy allows companies to do tough things they could never do in the normal course of business. It has helped many companies turn themselves around and come out even stronger. Bankruptcy would give G.M. enormous leverage with its debt holders — and, perhaps more important, with the U.A.W., whose gold-plated benefits are one reason G.M. is no longer competitive. A bankruptcy filing would also give G.M. the cover to close plants, rid itself of unprofitable brands and shed dealerships. In fact, unless G.M. files for bankruptcy, state laws would make it prohibitively expensive to shut dealerships. So, first, the government would force G.M into a prepackaged bankruptcy now — even before policy makers may think it needs to be. As an inducement, the government would allow the merger with Chrysler to go forward. (There’s a lot of resistance to saving Chrysler too, but we need to look at the industry as a whole. And don’t worry: Cerberus, the private equity firm that owns Chrysler, would have its equity wiped out too.) The merger should reduce costs by as much as $7 billion. But that’s not the tough stuff. The harder decisions are these: Both companies would have to jettison brands — lots of them. In the case of G.M., frankly, the only ones worth saving are Cadillac, Chevy and Buick. (Buick? Yes. Despite its lackluster sales and fuddy-duddy image in the United States, it’s a huge seller in China.) That means Saturn, Pontiac, GMC and Saab would all disappear. Deutsche Bank estimates that reducing G.M.’s brands from eight to three would bring down the company’s cost base by $5 billion annually. If you’re able to shut the dealerships too, lop off another $4 billion. Chrysler is an even sadder situation: the only brand with any value is Jeep. Its Dodge Ram truck lineup could be merged with Chevy, which would also pick up pieces of the GMC business. And Chrysler’s minivan business could be combined into the Chevy brand as well. In all, the 35 plants of G.M. and Chrysler would probably be cut by half. Then the auto workers, whose benefits are off the charts. G.M. currently employs about 8,000 people who actually don’t come to work. Those who do go to work are paid about $10 to $20 an hour more than people who do the same job building cars in the United States for foreign makers like Toyota. At G.M., as of 2007, the average worker was paid about $70 an hour, including health care and pension costs. Those costs are already coming down slightly because of a renegotiated deal with U.A.W. last year, but not nearly enough. Part of the problem is summed up by comments like this one in The Detroit Free Press, made by Kandy O’Neill, 39, an assembler at G.M.’s plant in Lake Orion, Mich., where she builds the Chevy Malibu and Pontiac G6. “I think we’ve given enough,” she said about the cuts to her salary and pension plan. “Everybody wants to come down hard on the workers,” she said. “Nobody knows what we do inside there but the people who work there. It’s hard. It is not an easy job.” When you read a line like that you might sympathize with her, but then you realize that nothing can be accomplished without bankruptcy. Ms. O’Neill: your company is asking the taxpayers — many of whom don’t have health care coverage — to pay your salary and health insurance. And then we need these companies to agree to serious, strict enforcement of gas mileage standards. They should be producing the cleanest cars on the street. We may lose hundreds of thousands of jobs in this industry in the near term, but with the right kind of innovation, we should have millions of new jobs in the next 10 years. Finally, we need to kick out management. That Rick Wagoner, chief executive of G.M., can say with a straight face that he still deserves to run this company is laughable. It would be impossible for him to put in place the serious changes that need to be made because he carries too much baggage. He’d have to undo years of his own neglect. After all that is agreed, and only then, the government should come in with what’s known as debtor-in-possession financing to help the company through the bankruptcy process. Ideally, the government would be a “seed investor” and others would join it. The goal should not be to keep these companies from filing Chapter 11, but from filing for Chapter 7 — which would mean liquidation. With the debt market virtually closed, this is the time the government can come in and try to help. But to jump in front of the train now, without the requisite changes made to the industry first — which we all know can’t be done without Chapter 11 — would be foolish. The automobile industry has argued that bankruptcy will be a disaster for the industry; that people won’t buy vehicles while they’re in bankruptcy for fear that the warranty won’t mean anything. There’s a fix for that too. The government should establish a warranty insurance fund that would insure the warranties of all G.M. and Chrysler vehicles bought while the combined company is still operating under bankruptcy protection. The cost to taxpayers should be next to nothing, assuming the company survives and can takeover the warranty obligations. The government also should consider using some of the money for the financial industry rescue not to save the companies, but to retrain employees in the Detroit area and help promote development of new industry. A lot of people complain about the role of government in business and free markets. But it is hard to complain about efforts to make the nation’s workforce more employable. Barack Obama, on “60 Minutes” Sunday night, said that government assistance must be “conditioned on labor, management, suppliers, lenders, all the stakeholders coming together with a plan.” He said, “So that we are creating a bridge loan to somewhere as opposed to a bridge loan to nowhere.” Take note, Mr. Cervone: that bridge is called Chapter 11. http://www.nytimes.com/2008/11/18/business/economy/18sorkin.html?_r=1&hp=&pagewanted=all&oref=slogin
  4. Non, c'est toute l'université qui est évaluée ! En fait, McGill est première dans la catégorie des "universités offrant des programmes de médecine et de doctorat" (Medical Doctoral Universities). C'est évidemment considéré comme la catégorie la plus prestigieuse. Voici le classement dans cette catégorie : 1 McGill 2 Queen's 2 Toronto 4 UBC 5 Alberta 6 McMaster 7 Calgary 8 Dalhousie 9 Saskatchewan 10 Ottawa 10 Western 12 Laval 13 Montréal 14 Sherbrooke 15 Manitoba Les deux autres catégories d'universités sont "Comprehensive Universities" (incluant Concordia, 11ème sur 11) et "Primarily Undergraduate universities" (ayant peu ou pas de programmes de maîtrise/doctorat). Pas de trace de l'Université du Québec (UQAM, UQTR, etc.). Possible qu'ils n'aient pas participé au sondage. Détails : http://oncampus.macleans.ca/education/2008/11/10/our-18th-annual-rankings/
  5. Tommy Chouinard La Presse, 07 novembre 2008 à 13h38 | Mis à jour à 13h42 http://www.cyberpresse.ca/actualites/elections-provinciales/200811/07/01-37328-un-gouvernement-pequiste-pourrait-revoir-le-site-du-futur-chum.php Un gouvernement péquiste pourrait revoir le site de construction du futur CHUM, a indiqué la chef péquiste Pauline Marois. Elle a souligné que le «meilleur site» était à ses yeux celui qu'elle avait choisi comme ministre de la Santé en 2000: le 6000, rue St-Denis. «Pour l'instant, le projet est un fiasco lamentable. Les libéraux ont été incapables de décider (du site). Et quand ils ont décidé, ils ont choisi un site qui exige des rénovations, de la démolition. Le projet, on le voit jour après jour, va coûter de plus en plus cher», a-t-elle affirmé au cours d'une conférence de presse. Si elle est portée au pouvoir, Pauline Marois entend évaluer l'état du projet et, ensuite, déterminer si un changement de site serait approprié. «Je vais regarder là où on en est le CHUM lorsque je serai élue pour voir s'il y a des changements qu'on doit apporter et si on devrait aller jusque-là», a-t-elle affirmé. En février 2005, avant que le gouvernement ne décide que le futur CHUM serait construit au centre-ville, Pauline Marois avait plaidé pour l'implantation du mégahôpital dans la gare de triage d'Outremont, l'autre site qui était évalué par Québec. Elle disait toutefois regretter que les libéraux écartent le 6000 St-Denis, le site qu'elle avait choisi en janvier 2000. «C'était à mon point de vue le meilleur site», a-t-elle dit. Un peu plus tôt, le chef adéquiste Mario Dumont a plaidé pour la construction du CHUM à la gare de triage d'Outremont.
  6. Publié le 24 octobre 2008 à 06h26 | Mis à jour à 06h27 Mario Cloutier La Presse Le promoteur du 2-22 Sainte-Catherine, Christian Yaccarini, poursuit ses tractations afin de contribuer à changer la vocation du carrefour des Mains, les artères Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Le PDG de la Société de développement Angus (SDA) compte créer un pôle vert et culturel dans le quadrilatère formé des artères Sainte-Catherine, Saint-Laurent, René-Lévesque et Clark. Avec un tout nouveau partenaire: Hydro-Québec, a appris La Presse. Le président de la Société de développement Angus (SDA), Christian Yaccarini, négocie déjà depuis des mois avec le propriétaire de plusieurs édifices du quadrilatère, Socrates Goulakos, dans le but d'acheter ou de raser certains édifices pour y installer des commerces de produits équitables et des bureaux d'entreprises spécialisées en création (design, architecture, vidéo). Pour financer ce projet écolo et culturel, la SDA compte déjà sur l'appui de FondAction de la CSN, mais Hydro-Québec serait également intéressée à y occuper des bureaux pour ses employés qui sont dispersés un peu partout à Montréal, dont à la Place Dupuis. Comme l'a révélé La Presse en janvier dernier, ce projet prévoit également la transformation de la rue Clark en rue piétonnière, avec l'ouverture de façades commerciales du côté est. La SDA y voit un complément logique au Quartier des spectacles et à la Maison du développement durable, le futur quartier général des groupes écolos qui serait situé juste de l'autre côté de la rue. Par contre, le quadrilatère comprend le Monument-National, une salle de spectacle classée bien culturel par le gouvernement québécois. Tout changement prévu dans un rayon de 150 mètres de cet édifice historique doit donc recevoir préalablement l'accord du ministère de la Culture. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/24/01-32406-un-projet-ecolo-et-culturel.php
  7. Publié le 24 octobre 2008 à 06h22 | Mis à jour à 06h23 André Noël La Presse La Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) projette un édifice de 11 étages sur le terrain vague du métro Saint-Laurent pour y installer son siège social, ainsi que les bureaux de Construction Frank Catania et du groupe de génie SM, indique un document obtenu par La Presse. Seulement deux étages auraient une fonction culturelle, en abritant les Ateliers de danse moderne de Montréal. Ce terrain appartient à la Ville depuis des années. Le comité exécutif a décidé de le céder à la SHDM, en échange d'un autre, avec le «mandat d'y élaborer un projet immobilier à forte teneur culturelle». Or, cet édifice phare du Quartier des spectacles aura plutôt une forte teneur commerciale, selon le document présenté le 13 septembre au conseil d'administration de la SHDM, une société paramunicipale qui a maintenant un statut de compagnie privée. «Les partenaires proposent de réaliser un projet immobilier à des fins bureaux et culturelles d'une superficie approximative de 240 000 pieds carrés hors sol et des espaces de stationnement établis sur cinq niveaux en sous-sol, indique le document. Environ 210 000 pieds carrés (soit 87% de la superficie) seront voués à la fonction bureaux offerte en copropriété divise et le solde sera cédé à LADMMI (les Ateliers de danse moderne de Montréal inc.).» «Cette acquisition d'espaces à bureaux constitue également une opportunité pour la SHDM quant à son propre siège social», ajoute le document. Le coût de l'édifice est évalué à 47 millions. «Le financement serait accordé selon la prévente des espaces à la SHDM, à LADMMI et aux groupes SM et F. Catania qui ont manifesté l'intérêt d'y aménager leur place d'affaires.» «Ce sont des gens avec qui on travaille, a indiqué Stéphanie Gareau, porte-parole de la SHDM. Ils ont manifesté leur intérêt. Ils ont des liquidités pour investir. Si ce projet se concrétisait, oui, ce serait intéressant pour la SHDM de s'installer là. Même chose pour SM et Catania. On me dit que le groupe SM va être en recherche d'espace de bureau, car son bail va finir bientôt. Catania a son siège social à Brossard et se cherche une place d'affaires à Montréal. Mais c'est une hypothèse. Rien n'est définitif.» La SHDM est déjà partenaire du groupe Catania dans l'est de Montréal, pour développer le Faubourg Contrecoeur. Dans ce cas, la Ville a cédé un terrain de 38 hectares à la SHDM, qui l'a vendu à Catania pour y construire 1850 logements. Il y a deux semaines, Martial Fillion a été relevé de ses fonctions de directeur général de la SHDM, quand La Presse a révélé que les vérificateurs internes enquêtaient sur des allégations montrant qu'il aurait indûment avantagé le promoteur. La SHDM travaille aussi avec le Groupe SM dans le Quartier des spectacles. L'administration du maire Gérald Tremblay a confié le mandat à la SHDM de réaliser la première phase de ce lieu culturel. Le génie civil a été confié au consortium Groupe SM/Génivar inc. Des travaux sont en cours à l'ouest de la Place des Arts. Quant à l'école de danse LADMMI, elle a des discussions avec la SHDM depuis plusieurs mois. Affiliée au cégep du Vieux Montréal, l'école se cherche un nouveau local. Au départ, elle devait s'installer sur un terrain appartenant à la SHDM, situé à l'angle des rues Clark et Sainte-Catherine, mais la Ville a décidé d'y aménager un parc. La SHDM et la Ville ont donc décidé d'échanger les terrains, afin que l'école de danse s'installe plutôt au-dessus du métro Saint-Laurent. Les gouvernements fédéral et provincial se sont engagés à donner une subvention de 9,5 millions à LADMMI si elle devenait propriétaire de son local. En juillet, Martial Fillion a conclu une entente avec cette école au nom de la SHDM pour lui vendre un local qui occupera les deux premiers étages de l'édifice à construire au-dessus du métro. En août, M. Fillion signait une deuxième entente avec le président du groupe SM, Bernard Poulin, pour créer une entreprise conjointe afin de construire l'immeuble. La SHDM cédera le terrain du métro à l'entreprise, et le groupe SM fera la mise de fonds. Ces deux partenaires, ainsi que le groupe Catania, s'engagent à acheter des bureaux dans l'édifice, ce qui facilitera la recherche de financement. Les deux ententes ont été entérinées par le conseil d'administration de la SHDM en septembre. Le groupe Catania, qui a obtenu le terrain du Faubourg Contrecoeur à la suite d'un appel d'offres, est un supporter du parti du maire Gérald Tremblay. Depuis 2001, ses dirigeants ont donné plus de 12 000$ au parti, l'Union des citoyens de l'île de Montréal, qui s'appelle maintenant Union Montréal. Le groupe SM, lui, est une entreprise très importante, qui a 800 employés dans le monde. C'est aussi à la suite d'un appel d'offres qu'il a obtenu le contrat de génie civil dans le Quartier des spectacles, avec Génivar. La Ville, le gouvernement fédéral et le gouvernement provincial se sont engagés à verser 120 millions à parts égales pour développer ce quartier. Depuis 2003, les dirigeants du groupe SM ont donné plus de 45 000$ à la caisse du Parti libéral du Québec. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/24/01-32405-la-shdm-prefere-des-bureaux-a-lart.php
  8. LTS

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    Publié le 24 octobre 2008 à 05h03 | Mis à jour à 05h03 Mario Cloutier La Presse Après un slalom étourdissant de plusieurs mois autour du 2-22 Sainte-Catherine, la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et la Société de développement Angus (SDA) iront finalement de l'avant avec ce projet d'édifice à vocation culturelle de 16 millions, sans la participation financière d'Ottawa. Le maire Gérald Tremblay, le ministre québécois du Développement économique et responsable de Montréal, Raymond Bachand, et le PDG de la SDA, Christian Yaccarini, en feront l'annonce ce matin au Club Soda, à deux pas du lieu où sera construit l'édifice, soit à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Sainte-Catherine, dans le pôle est du Quartier des spectacles. Depuis trois semaines, après les révélations de La Presse sur la stagnation du dossier, l'administration municipale jonglait avec deux ou trois scénarios, en compagnie du promoteur, pour compléter le montage financier de ce projet fondamental pour le Quartier des spectacles. Plutôt que de soumettre une nouvelle demande à Ottawa dans le cadre du programme d'infrastructures Chantiers Canada, ce qui aurait reporté dans le temps sa réalisation, la Ville a finalement décidé de puiser cinq millions dans une enveloppe de 140 millions en provenance de Québec, comme le conseillait le ministre Bachand récemment. Sollicités par le promoteur l'an dernier, d'autres ministères fédéraux avaient, pour leur part, refusé de s'impliquer financièrement dans le projet. Les responsables dévoileront également aujourd'hui le nom des architectes retenus, dont Aedifica, qui a dessiné les tout premiers plans du projet il y a plus de deux ans, et une autre firme, pour réaliser l'édifice de six étages. D'abord évalué à 20 millions, le projet a été ramené à 16 millions, puis est passé de huit à six étages pour respecter les règles d'urbanisme. Les travaux pourront débuter dès le printemps 2009. Selon une entente entre la Ville et le promoteur, il sera occupé obligatoirement aux trois quarts par des locataires culturels, dont la Vitrine culturelle, guichet de promotion et de vente de billets de spectacle et, probablement, la station de radio CIBL. Les négociations avec la station et d'autres locataires éventuels, dont des commerces, ne sont pas encore terminées. Montage financier difficile Le montage financier du projet aura donc causé beaucoup de maux de tête au promoteur et à ses partenaires. Pour cette première réalisation en dehors du site Angus, la SDA compte sur 9 millions en provenance de prêteurs privés, deux millions de la Ville, équivalent à la valeur du terrain cédé pour 75 ans, et cinq millions provenant des 140 millions attribués par Québec à la métropole dans le cadre d'une enveloppe pour le développement de toutes les régions. Cet investissement de 5 millions peut paraître minime mais il fait toute la différence puisqu'il permettra de s'assurer que le prix des loyers reste accessible à des organismes culturels. Cette participation indirecte du gouvernement québécois pourra être doublée d'une aide financière accordée aux dits organismes, déjà subventionnés, qui décideront de s'installer dans le 2-22 Sainte-Catherine. Ils pourront obtenir ce soutien financier auprès du ministère de la Culture. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/23/01-32373-le-quartier-des-spectacles-prend-forme.php
  9. So what does the Formula One Administration actually do with the money they receive on a yearly basis? Perhaps someone can explain this to me - and I'm not just being snarky; I genuinely want to understand. Revenues 20 GP's * 50 millions each = 1 billion $ I suppose the teams (Ferrari, McLaren, etc.) also have to pay for the right to race on the F1 circuit. From what I understand, the Formula One Administration also gets a sizable share of TV revenues. Costs The GP's seem to take care of everything related to the actual events (build and maintain the track and infrastructure, organization and coordination of the event, marketing, etc.) The teams (well, their sponsors) are paying for the cars, the pilots, R&D, etc. What other cost is there? Making the schedule? One guy with an Excel file, making phone calls for a couple of weeks and you're done. (You want to remove the Montreal GP? Just click "Delete" and publish on the web site! ) The web site? That's hardly a billion dollar affair, is it ? Determining the rules and regulations? That's pretty much done, with a few adjustments every year. Simply organize a yearly meeting to discuss this and that's it. So... where does the money go? How is this organization useful, except for the fact that they hold the "official" F1 seal of approval or whatever? Hopefully I'm missing something. Hopefully.
  10. Je pense qu'il y a déjà un fil sur le sujet : http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php?t=1417 Par ailleurs, voici un rendu - je ne sais pas si c'est nouveau : [image trouvée ici : http://www.quartierdesspectacles.com/fr/nouvelles/fichenouvelle.asp?id=70]
  11. Actually, I remember that a few years back there was a big sign on that lot announcing a condo project. No sales office, but there was a real estate agent's name and phone number on the sign. I guess it never amounted to anything though. But perhaps that project is being revived. One can always hope...
  12. Not too sure what to make of this - and I certainly wouldn't want to get your hopes up for nothing - but... A caravan with a "Bureau des ventes" sign has just been set up on the empty lot at the corner of René-Lévesque and St-Laurent. Thing is, there's no rendering in sight, just a little sheet of paper in the window that says "L'orée du parc" or something like that (I was in a hurry... ) and another sheet with business hours. Anyway, I googled that name and found this project on St-Grégoire near De Brébeuf: http://www.montrealbits.com/apartments/l_oree_du_parc.html. I don't even know if that project was eventually built or if it was just a proposal that went nowhere. Could they have decided to move that project to that lot on René-Lévesque? Certainly seems like a strange spot for a project of that scale, unless it's been modified... Then again maybe someone else needed the caravan and parked it there without removing the "Bureau des ventes" sign... So, does anybody know what that's all about?
  13. Métro de Montréal : Deux nouvelles stations en vue Les usagers du transport en commun de Montréal pourraient bénéficier de deux nouvelles stations de métro en 2013. Le président de l'Agence de transport de Montréal (AMT), Joël Gauthier, a confié à la radio de Radio-Canada que les lignes orange et bleue pourraient être prolongées d'une station chacune. M. Gauthier a indiqué qu'un appel d'offres pour un avant-projet de construction des stations de métro serait lancé prochainement. La ligne bleue, qui s'étend d'est en ouest des stations Saint-Michel à Snowdon, serait rallongée vers l'est jusqu'à la rue Pie IX. Quant à la ligne orange, le terminal Côte-Vertu serait prolongé vers le secteur Bois-Francs dans l'arrondissement Saint-Laurent. La densification de la population de ce secteur de l'arrondissement et les milliers d'employés du parc industriel de Saint-Laurent justifient l'extension de cette ligne de métro. Le train de banlieue Montréal-Deux-Montagnes fait déjà un arrêt à la gare Bois-Francs. La jonction de cette gare au métro permettrait de relier les deux systèmes de transport collectif, comme les stations de la Concorde et Bonaventure. L'AMT envisage également, à plus long terme, d'améliorer le tracé de la ligne jaune entre Longueuil et Berri-UQAM. Le tracé serait prolongé jusqu'à la station McGill afin de soulager la ligne verte. La réalisation de ce projet pourrait être plus longue, mais le prolongement des deux autres lignes serait plus imminent, car il correspond aux priorités du plan de transport de la Ville de Montréal. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/04/18/002-AMT-metro-prolongement_n.shtml [Mise à jour le vendredi 18 avril 2008 à 10 h 28]
  14. LTS

    U.n Hdi 2007

    La France est 10ème. Classement complet ici : http://hdr.undp.org/en/statistics/ Page Wikipedia sur le sujet : http://en.wikipedia.org/wiki/Human_Development_Index
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